Allez une petite larme...finalement non!
Non ce n'est pas un billet sur Lampedusa, RIEN A FOUTRE. Depuis quand plaint-on les envahisseurs malchanceux? Bon, d'accord, à gauche, on pleurniche que les Arabes n'aient pas envahi toute l'Europe dès le VIIIe siècle, que les Allemands aient tué trop de Russes pour que ces derniers puissent répandre la Bonne Nouvelle marxiste sur toute l'Europe plutôt que la moitié, et on regrette que Blanc-comme-Neige et Doudou-Innocent ne soient pas déjà nos maîtres et nous leurs esclaves, même si on y vient très vite.... Du moment que c'est pas blanc et de droite, on est d'ac, d'ac?
***
LE MARTYR DE SAINT-HAMIDA
Raconté comme ça, il y a de quoi faire peur aux enfants, caqueter les poules (sujet d'actualité), tourner leur lait aux femmes enceintes, faire piquer des crises d'hystérie aux ménagères et faire un noeud froid et serré d'anxiété autour des cols des joyeux pensants:
En revanche quand on se rappelle que l'intéressé a torturé, mutilé, trucidé puis brûlé une ancienne compagne au motif qu'elle ne s'était plus laissée mettre au tapin, on a un peu moins envie de plaindre le bonhomme, qui a bénéficié d'une mise à mort rapide si on la compare à l'injection léthale, aux pendaisons souvent semi-ratées, à la chaise (même remarque) et ne parlons pas d'un gazage réussi (7min!!!).
Je reste persuadé que la décapitation reste extrêmement douloureuse; je pars d'ailleurs du postulat que le supplicié a le temps de sentir la douleur, voire de se rendre compte qu'il est en deux morceaux. Et je ne sais pas si la mise à mort est une peine plus justifiée par l'intérêt de la société que les travaux forcés à perpette. En revanche je peux vous "rassurer": toute mort s'accompagne de douleurs et d'angoisse, même la mort dite "paisible au fond de son lit". La seule connaissance supplémentaire du condamné à mort est l'heure exacte.